Elles utilisent pour ça tout un arsenal de lois, de décrets, d'interdictions et de préconisations, créé pour assurer la protection et l'auto-pérennisation du système qui les nourrit.
Il serait incroyablement approprié de dire que c'est de bonne (!) guerre...
Pendant ce temps, hors du champ de bataille politico-économico-idéologique, dans la foi et la bonne humeur, certains œuvrent.
Ils ne parlent pas de la transition, ni du nouveau monde, ni de la citoyenneté participative, ni de rien de ce dont les mass-médias se sont emparé et se gargarisent jusqu'à l’écœurement (de l'auditeur).
Ceux-là ne parlent plus. Ils sont et ils font.
Ils n'ont pas demandé l'autorisation, ils n'ont pas rempli de formulaire en trois exemplaires, ils ont dit : salut ! et ils ont commencé à vivre.
A quel prix, vous demandez-vous ?
Celui du lâcher. Notre petit confort (pour un plus grand, qui sait ?), nos relations (ne resteront que les valeurs sûres), nos deux voitures avec parking (très recommandé), notre paye en fin de mois (indemnité d'esclavage ?), notre partie de bowling du samedi soir (...), le cours de danse des filles (pour danser la vie dehors), avec un peu de chance : le portable (trouvez donc une zone blanche !), etc.
Cherchez, vous verrez, c'est très amusant : à chaque renoncement sa compensation au centuple.
La reconquête de la souveraineté de l'être N'A PAS DE PRIX.
En voilà deux, ci-dessous, qui ont fait le pas. Ils nous parlent de vraie permaculture, appliquée à la vie.
Tout ce qu'on croyait vrai, nous apparaît complètement faux une fois qu'on a changé de regard.Si vous ne fuyez pas d'emblée devant tant de remue-ménage, vous risquez fort de vous laisser contaminer par cette alléchante subversion.
(Extrait de la vidéo : Thierry Casasnovas).
M'est avis que les inscriptions au stage d'Eric Escoffier vont fuser !
Aucun commentaire :
Enregistrer un commentaire